L’idéalisation
Tennisman, footballeur, basketteur, athlète, boxeur… Etre sportif de haut niveau, ça fait rêver. L’argent, le prestige, la célébrité, le succès… autant de paillettes contribuant à identifier le sport comme un idéal « professionnel ».
Réservé à l’élite
Mais à l’instar du rêve américain auquel de nombreux sportifs espèrent accéder, le sport de haut niveau est bien loin d’être un long fleuve tranquille.
Accessible à une élite, dotée d’un talent façonné par l’entraînement, la formation du « super sportif » semble être le premier obstacle du compétiteur…
Trop de limites
Le constat est évident, le développement du sportif prometteur est bien trop souvent parasité de contraintes telles que les limites budgétaires, les disponibilités horaire du cadre familial, le manque d’infrastructures, l’accès à la diversité d’un encadrement sportif optimal, le dilemme de cultiver une intelligence intellectuelle et/ ou motrice…
Manque de structures
Finalement, ils sont peu, trop peu, à pouvoir bénéficier d’une véritable structure de proximité, permettant un développement à long terme de l’athlète grâce au croisement de compétences des différents intervenants.